E-shop

Rendez-vous

Guides

Adresses

Nous découvrir

Journal

Lingerie Push-up Ivoire Histoire De Femmes Lamia

Lamia

LAMIA

Lamia a 25 ans, elle est microbiologiste et vit à Nantes.

Au micro d’intimité, elle s’est confiée sur le culte du corps dans le cercle familial et sur la pression de devenir une femme à 13 ans, sur les complexes que l’on apprend à apprivoiser et le rôle fondateur des personnes que l’on aime dans ce chemin.

À 16 ans, elle a eu un grave accident de la route. Comment ce choc aussi émotionnel que physique a-t-il influencé le regard qu’elle pose sur son corps ? Comment a-t-elle vécu l’apparition inattendue de vergetures lors de son hospitalisation ?

Une conversation riche et une conclusion qui libère.

Ecouter le podcast
00:00

« On me reprochait de ne pas grandir assez vite, alors que je n’avais que 13-14 ans. »

« J’ai réalisé que j’avais une chance inouïe de savoir re-marcher. »

Lingerie Push-up Ivoire Histoire De Femmes Lamia

Lamia

L’INTERVIEW

Parlez-nous un peu de vous (votre métier, vos passions...) ! Qu’est-ce qui vous anime ?

Je suis microbiologiste. Des heures et des heures de travaux acharnées m'ont poussées à dépasser mes limites, m'autorisant à être fière de moi et à donner encore et toujours le meilleur. Aujourd'hui, je suis passionnée par mon métier.

L'art et la mode sont aussi deux éléments capitaux de ma vie. Avoir le goût des bonnes choses est sans doute la plus belle chose que mon père m'ait transmis.

Quelle relation avez-vous avec votre corps ?

J'ai été victime d'un grave accident de la route lorsque j'avais 16 ans. De nature très sportive, j'ai psychologiquement très mal vécu la rééducation qui a suivie pendant des mois. Outre l'aspect psychique, mon corps venait de subir une lourde perte de poids : moins quinze kilos en 13 jours. Les nouvelles formes gracieusement données par la puberté venaient de partir en fumée, laissant derrières elles des vergetures sur les cuisses et les fesses.

Le culte du corps parfait a toujours été important dans ma famille. J'ai eu l'impression de ne plus en faire partie après ce terrible drame. J'ai détesté mon corps pour cela. Un travail sur moi-même m'a permis de l'écouter, de comprendre ses besoins et enfin, de m'accepter. Le chemin a été long. Très long. Il m'arrive quelques fois d'aimer ces marques, et puis il y a des jours sans. Mais je n'y prête plus autant attention qu'avant car je sais que ce sentiment n'est que passager.

Il suffit juste que me remémore cette douloureuse étape afin d'accepter le combat que j'ai dû affronter quelques années plus tôt pour prouver ma valeur à la vie. Mes cicatrices me rappellent que j'ai une chance inouïe de gambader comme je le souhaite du haut de mes 25 ans. La vie est beaucoup trop belle pour ne pas avoir conscience de sa propre valeur.

Écouter le podcast

HISTOIRE
DE FEMMES

Lamia porte le push-up Histoire de femmes en 85C et la culotte Histoire de femmes en taille 36.

Toute la lingerie

Les autres portraits

découvrir