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Triangle Source d'amour

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Culotte Source d'amour

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Corbeille Sur mon épaule

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Tanga Sur mon épaule

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Sarah Espeute, une brodeuse poétique

Boutique Marseille

Brodeuse marseillaise minimaliste, Sarah Espeute raconte des histoires uniques à travers chacune de ses œuvres. 

Chaque pièce est fabriquée à la main, à partir de draps en lin et coton anciens, qu’elle récupère chez des particuliers. Elle ajoute sa touche de sensibilité à l’histoire familiale de chacun de ces tissus, pour leur donner une seconde vie.

Sarah Espeute a apporté sa singularité à notre boutique marseillaise à travers des rideaux qu’elle a bordé à l’image d’Ysé.

Elle nous raconte son histoire et son travail. 

Comment définirais-tu ton travail ? 

Sensible, poétique et modeste. 

Tu appelles tes créations Œuvres Sensibles, qu’est-ce que cela signifie pour toi ? 

Avant même d’être un nom ou une marque, c’est avant tout une façon de concevoir mes créations, un manifeste qui invite à une nouvelle approche de l’objet domestique. 

L'œuvre traduit la dimension artistique d’une expression personnelle et le sensible vise à susciter une émotion empathique. 

Parle-nous de ton rapport au(x) (beaux) tissu(s) ? 

J’ai commencé à utiliser des tissus anciens pour une raison économique et aussi parce que je ne trouvais rien qui me plaisait sur Marseille. Il y a 4 ans, j’ai acheté un premier lot de draps de lin et coton et je n’ai pas cessé depuis. 

En plus d’avoir une qualité incomparable, l’ancien a quelque chose de vrai et sincère, d’unique qui le rend précieux. Son vécu réveille notre imagination, nous touche. On a envie de le valoriser, de lui donner un caractère intemporel en lui offrant une nouvelle vie. 

Comment définirais-tu ton attachement à Marseille ? 

Un attachement basé sur la spontanéité et l’ouverture d’esprit, sans attente particulière. En arrivant à Marseille, c’était comme prendre un nouveau départ, construire un nouveau projet mais je ne savais pas exactement quoi, ni comment, ni quand. 

J’ai donc découvert Marseille en même temps que je me découvrais, avec cette pointe d’enthousiasme et de curiosité qu’on ressent au contact d’un nouveau lieu de vie et qui nous porte. Les deux cheminements se sont faits naturellement, sans rien forcer et c’est très bien comme ça. 

Comment as-tu imaginé les pièces que tu as travaillées pour Ysé ? 

Le rideau est comme une tapisserie bucolique et parfumée. C'est un petit jardin où vivent des insectes malicieux. J’aime l’idée qu’on les découvre, les observe derrière une ondulation du tissu ou discrètement posés sur une fleur, qu’un détail évoque une odeur, un souvenir. 

Il y a de la poésie et de l’espièglerie, un peu comme chez Ysé.

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